Au travail, que révèle la désobéissance ?
Vos collaborateurs ne respectent pas les process que vous avez implémentés ? Ils s’opposent à vos ordres ? Voire, ils se désengagent totalement de leur travail ? Plutôt que de sortir le bâton, posez-vous un instant et analysez la situation. Que signifie cette désobéissance ? Apolline Guillot vous aide à la décrypter dans cette vidéo.
Au travail, on a tous déjà connu ça : un projet est bien parti, et puis d’un coup, après la première réunion de cadrage, il ralentit, voire se bloque complètement. Alors le réflexe naturel, c’est de vouloir vite lisser, pour que tout le monde se remette en ordre de marche au plus vite. Mais en réalité, ces aspérités en disent long. Il suffit juste de savoir les décrypter.
1. La désobéissance ouverte
Le premier type de résistance qu’on peut croiser au travail, c’est la désobéissance ouverte. L’exemple typique, c’est ce collaborateur qui s’oppose à une mission pour un client qu’il estime contraire aux valeurs de l’entreprise. La désobéissance ouverte conteste la légitimité des ordres donnés par la hiérarchie. Mais elle ne fragilise l’autorité que si celle-ci refuse la discussion. Il faut que le chef accepte de transformer son autorité personnelle en une autorité rationnelle construite avec ses collaborateurs. C’est ce que le philosophe allemand Jürgen Habermas appelle une « éthique de l…
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